“C’est vrai que cette période était relativement difficile à vivre car elle sous entendait un abandon de travail, un abandon de carrière, un abandon social. En un mot, une rupture qui apparaissait à l’époque comme bien ardue à vivre et à se demander où je pourrais trouver la force de rebondir.

C’est en préparant le dossier qui vous était destiné pour ma défense et qui portait essentiellement sur mon état de santé précaire dû à tous ces bouleversements que m’est apparu le rôle essentiel de l’avocat : redonner sinon l’espoir mais à défaut sa dignité au cadre frustré que j’étais devenu. Et cela par le biais d’un dossier -santé et travail- très documenté qui permettait de calculer au plus juste des indemnités de licenciement, au regard du préjudice subi ; qui si j’avais dû les payer m’auraient apparu calamiteuses, mais de la part d’une entreprise -presque- florissante se noyaient dans la masse financière.

L’autre point important est que, à mon avis, votre discours en salle de tribunal cale les objections à leur vrai place et décisionne un paiement ultra-rapide des indemnités de licenciement et solde de tout compte. Ce qui fut fait dans les 30 jours suivant la dernière audience. Sans vous, j’aurais dû compter les mois, les trimestres, …

Enfin, le troisième point me concerne. J’ai pu rebondir grâce à cette manne financière et m’occuper à part entière de ma vie de jeune retraité, en ayant recouvré la presque totalité de ma santé et en choyant mes petits bateaux de pêche, mon dada que j’avais négligé pendant cette période trouble.

Il est donc inutile de confectionner des ratios entre la cherté des avocats et le bénéfice qu’on peut retirer d’une affaire jugée. Il suffit de se faire confiance et je vous en remercie.

Cordialement.”